Haine
par Vincent CALISTO - à ceux qui me haïssent
Cette animosité au sang noir et hostile, Qui naquît dans l’erreur de ces miasmes putrides, Rampe ici dans son marasme en terre stérile, Pour ne semer qu’une poignée de graines arides.
While programming, the limit is not hardware, but imagination.
Haine
par Vincent CALISTO - à ceux qui me haïssent
Cette animosité au sang noir et hostile, Qui naquît dans l’erreur de ces miasmes putrides, Rampe ici dans son marasme en terre stérile, Pour ne semer qu’une poignée de graines arides.
Premier baiser
par Vincent CALISTO - à S.
Promenade fleurie de roses à ton jardin, À la timide beauté encore secrète, Le temps dansait avec ces fleurs dont le parfum, Rendait la nature nous cernant si abstraite.
Vestiges désolés
par Vincent CALISTO
Ces pierres autrefois couvertes d’intégrité, Revêtent une armure de profondes fêlures, Qui reflète l’image de cités brisées, M’abîmant alors dans ces immondes fissures.
Messe en Ude majeur
par Vincent CALISTO
Ô Solitude, ma chère quiétude, Devrais-je te montrer ma gratitude ? Ou bien devrais-je avoir des inquiétudes ? Ma vie n’en est qu’à son prélude,
Regard amoureux
par Vincent CALISTO - à S.
Parfois fuyant, Parfois perçant, C’est pour moi un signe de joie, Car si je le vois,
Toi, moi, mon chat
par Vincent CALISTO - à S.
Présence courbe dessinant ta silhouette, Dans l’éclat de tes yeux naissent les [...], Ces deux Soleils qui éclairent mon ciel, [...], Dans cette voute étoilée où ton amour abonde.
Sans toi
par Vincent CALISTO - à S.
Sans toi, je suis peut-être moins fort que tu crois, Mon cœur de minuit dans la tombe de décembre, Sans toi, je suis avec cette dame de froid, Vêtue de nuit à la robe dont tombent [...]